Alors bien sûr, avant tout, la grande nouveauté de ce mois de novembre, c’est qu’un lieu pour respirer est doté d’un nouveau conseil d’administration, composé de 11 membres : Gaël Chartier, Abraham Cohen, Françoise Gayral, Yohan Guignard, Lola Lago Azqueta, Olivier Marboeuf, Morgane Mélou, Sophie Pradat, Pablo Rosenblatt, Pascaline Simar, Jérôme Sullerot et d’un nouveau bureau collégial : Morgane Mélou, Sophie Pradat, Jérôme Sullerot. Suppléant : Pablo Rosenblatt -- [https://un-lieu-pour-respirer.net/] EDITO ENTREZ LIBRES (ET CONSCIENT.E.S) Alors bien sûr, avant tout, la grande nouveauté de ce mois de novembre, c’est qu’un lieu pour respirer est doté d’un nouveau conseil d’administration, composé de 11 membres : _Gaël Chartier, Abraham Cohen, Françoise Gayral, Yohan Guignard, Lola Lago Azqueta, Olivier Marboeuf, Morgane Mélou, Sophie Pradat, Pablo Rosenblatt, Pascaline Simar, Jérôme Sullerot._ et d’un nouveau bureau collégial : _Morgane Mélou, Sophie Pradat, Jérôme Sullerot. Suppléant : Pablo Rosenblatt_ Tout ce petit monde va se mettre au travail dès aujourd’hui, pour imaginer la suite d’un lieu pour respirer - en temps de confinement ou pas -, définir les chantiers,… Et l’un des premiers chantiers sera sans doute l’équation économique. Les événements sont en entrée libre. L’adhésion est à prix libre. Libre… Doit-on préciser « et conscient » ? C’est quoi, être conscient du prix de la liberté ? Quel est-il? Parce que c’est cela que nous voudrions que soit un lieu pour respirer, un espace de liberté partagée, un espace partagé de liberté. Mais, si la liberté ne s’achète pas, elle se paye. Nous continuons nos questionnements sur le modèle économique de ULPR, qui découle du modèle philosophique. Nous avons de la chance, car si un lieu pour respirer doit être un projet viable, ça ne veut pas dire qu’il doit exister envers et malgré tout. Rien n’en dépend, on n’a pas à sauver les emplois de dizaines de salariés, sa mission de service public, si d’aventure il en avait une, ne peut être décidée en dépit de ce public, bref, il n’y a rien à sauver. Ou plutôt si, ce qui fait tenir les bénévoles actuellement, l’espoir que beaucoup d’autres adhèrent à ce projet volontairement difficile à cerner. Difficile à cerner parce que son contenu visible ne semble pas venir de l’intérieur : il est apporté par qui le désire. Ce qui vient de l’intérieur, le coeur du projet tel qu’il est défini aujourd’hui, est moins visible et moins descriptible : accueillir, créer du lien et du commun, amener à se rencontrer – vraiment, c’est à dire autour du faire, dans l’action - des personnes qui autrement n’auraient fait que se croiser sur un bout de trottoir, maintenir une / des actitvité(s) commune(s)… Alors, ce modèle économique, il est difficile à définir : Il y a celles.ceux qui pensent qu’on ne doit pas dépendre des subventions, mais jusqu’où ? Aujourd’hui, la seule que nous recevons vient de la ville des Lilas, et représente 10 % de nos dépenses incompressibles. Jusqu’où doit-on augmenter cette part de subventions, et donc de dépendance aux institutions ? Sans compter le temps que prend la rédaction et le suivi des dossiers, que d’aucuns trouvent fastidieux, surtout dans un cadre de bénévolat… Il y a celles.ceux qui pensent qu’il faudrait un.e permanent.e à un lieu pour respirer, qui prenne en charge cette recherche de moyens, et la coordination du lieu, mais dont le paiement du maigre salaire demanderait déjà une somme de travail de recherche conséquente, particulièrement en ces temps où les emplois aidés ne sont plus ce qu’ils étaient, où il n’y a plus d’aide au fonctionnement, sans compter le besoin d’autres postes pour administrer ce poste-là (administration, comptabilité) qui demanderaient de trouver encore d’autres moyens… Il y a celles.ceux qui pensent qu’un lieu pour respirer doit être un lieu bénévole, qui ne repose que sur l’investissement commun à ceux qui souhaitent le voir vivre, et que la présence d’un salarié viderait de son sens en déchargeant ses usagers du travail que représente l’existence même de ce lieu, mais ça suppose d’avoir convaincu un nombre suffisant de personnes que ce lieu leur est indispensable, surtout celles qui ne s’en rendent pas compte... Il y a celles.ceux qui pensent qu’un lieu pour respirer, ça a à voir avec la psychanalyse : trouver un espace de liberté, ça ne peut pas être gratuit, indolore, ça doit demander de l’investissement personnel, être un effort soutenu, représenter un coût, parce que c’est comme ça qu’on sent vraiment vivre en soi le besoin d’un tel projet, son importance, et son apport à une perception du monde... Il y a celles.ceux qui pensent qu’on ne peut pas mener un tel projet avec un loyer aussi élevé. Pourquoi avoir un bailleur privé plutôt que de monter un squat ? Mais ce n’est pas le même projet : les problèmes sont dans un cas plus tournés vers l’extérieur (recherche d’argent, qui ne peut venir des bénévoles actifs) et dans l’autre vers l’intérieur (maintien d’un équilibre de vie, d’investissement de chacun au jour le jour, résistance à ce qui pourrait venir de l’extérieur briser l’élan, comme une expulsion ou de l’entrisme par exemple)… Il y a celles.ceux qui pensent qu’on devrait augmenter le prix de l’adhésion, le passer à 10€ par exemple, parce que pour être pris au sérieux, il faut que cela ait un coût, en aménageant bien sûr pour les gens de l’hôtel social, et aussi pour les gens dans le besoin, et encore pour les gens qui ne feraient que passer, et aussi pour ceux qui n’ont pas la somme sur eux, et aussi pour… Il y a celles.ceux qui pensent qu’on devrait faire payer l’entrée aux événements, avec bien sûr les aménagements décrits ci-dessus… Il y a celles.ceux qui pensent qu’il faut au contraire laisser les montants de l’adhésion et de l’entrée à la responsabilité et la conscience de chacun, mais cela exige un travail de pédagogie et d’explication qui ne sont déjà pas faciles en temps normal quand on accueille les nouveaux adhérents par paquet d’une dizaine dans l’entrée pour leur expliquer le projet, sa philosophie et son modèle économique, tout en continuant de servir des bières ou de préparer l’événement pour lequel on est en retard, mais en temps de covid, en les accueillant un par un, ça devient carrément impossible… Il y a celles.ceux… et vous, que pensez-vous ? Et d'ailleurs, suffit-il de penser ? Comment avance-t-on avec tout ça ? Les occasions de répondre ne manqueront pas. Quelques rendez-vous, pour certains très proches : l’apéro à distance du jeudi 12 novembre, qui sera l’occasion de discuter de la naissance de l’atelier cuisine, la création d’un atelier d’écriture, qui devrait être bientôt suivi assez naturellement d’un atelier de lecture, la mise en place d’un atelier affiches, qui sera aussi l’occasion de réfléchir à comment communiquer l’idée de ce que veut être un lieu pour respirer…  Sans oublier les réunions publiques, tous les samedis à 11h, pour le moment en distanciel via le lien : https://framatalk.org/unlieupourrespirer. _Respect exagéré des gestes barrières : on ferme temporairement ! _ _P__our vous accueillir au mieux dès que possible ! _ _Nous gardons le gel hydroalcoolique (au cas où) ! Restez chez vous et dé-masqué. ! Et voyons-nous via écrans interposés ! _ [https://un-lieu-pour-respirer.net/fr/evenements/apero-du-jeudi-12-novembre-2020-1] APÉRO DU JEUDI Jeudi 12 novembre 19h - 20h30 Nous avions prévu avant le confinement d’organiser un apéro sur le thème de la cuisine et de notre envie de créer une cantine mensuelle à Un lieu pour respirer. L’idée est simple : préparer avec ceux qui le souhaitent un repas, puis le partager avec nos convives. Le repas serait payant et participerait à soutenir financièrement le lieu. Mais si l’idée est simple, la réalisation pas si facile ! ca pose des questions (et c’est ca qui intéresse ! ) quel type de plat ? pour quelles régime alimentaire (végétarien, vegan, allergique au gluten, etc), quel budget, quel tarif, où trouver les ingrédients, qui prépare quoi et comment ?  Bien sûr nous avons déjà quelques pistes, mais toutes ces questions (et d’autres à venir) sont en discussion. Proposez une idée de recette (entrée, plat, dessert ou autre) simple à faire pour une vingtaine de personnes, peu coûteuse, et surtout excellente ! Rendez-vous jeudi à 19h pour en discuter sur _https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net_ [https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net] [https://un-lieu-pour-respirer.net/fr/evenements/reunion-publique-14-novembre-2020-1] RÉUNION PUBLIQUE Samedi 14 novembre 11h - 12h30  Comme tous les samedis, nous organisons une réunion publique. Cette semaine, nous aimerions discuter de la communication du lieu. Il y a facebook (on aimerait s’en passer, le pirater, ou mieux s’en servir), il y a la newsletter, le site, les flyers, le bouche à oreille.... Nous aimerions lancer un appel à affiches à disséminer dans le quartier et ailleurs, des annonces sonores ? … Nous attendons vos idées, propositions et alternatives. Rendez-vous sur _https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net_ [https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net] [https://un-lieu-pour-respirer.net/fr/evenements/apero-du-jeudi-19-novembre-2020] APÉRO DU JEUDI Jeudi 19 novembre 19h - 20h30 Choisir un livre, un texte parce qu'il vous plait, parce qu'il résonne en vous en ce moment si particulier du confinement et avoir envie de le lire à voix haute, d'écouter, de partager, de voyager ensemble sur les mots. Découvrir des écrivains de tous pays mais cela peut être aussi des articles, des recettes de cuisine, des mots qui nous interpellent... Sortir de nos cabanes ! Un-lieu-pour-respirer ça continue, oui quand même ! Rendez-vous au prochain apéro/lecture en visio : _https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net_ [https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net] Nous soutenir [https://www.helloasso.com/associations/un-lieu-pour-respirer/] [facebook] [https://www.facebook.com/unlieupourrespirer] [instagram] [https://www.instagram.com/unlieupourrespirer/] UN LIEU POUR RESPIRER 15 rue Chassagnolle 93260 Les Lilas contact@un-lieu-pour-respirer.net
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EDITO

Entrez libres (et conscient.e.s)

Alors bien sûr, avant tout, la grande nouveauté de ce mois de novembre, c’est qu’un lieu pour respirer est doté d’un nouveau conseil d’administration, composé de 11 membres :


Gaël Chartier, Abraham Cohen, Françoise Gayral, Yohan Guignard, Lola Lago Azqueta, Olivier Marboeuf, Morgane Mélou, Sophie Pradat, Pablo Rosenblatt, Pascaline Simar, Jérôme Sullerot.


et d’un nouveau bureau collégial :


Morgane Mélou, Sophie Pradat, Jérôme Sullerot. Suppléant : Pablo Rosenblatt


Tout ce petit monde va se mettre au travail dès aujourd’hui, pour imaginer la suite d’un lieu pour respirer - en temps de confinement ou pas -, définir les chantiers,…

Et l’un des premiers chantiers sera sans doute l’équation économique.

Les événements sont en entrée libre. L’adhésion est à prix libre. Libre… Doit-on préciser « et conscient » ? C’est quoi, être conscient du prix de la liberté ? Quel est-il?


Parce que c’est cela que nous voudrions que soit un lieu pour respirer, un espace de liberté partagée, un espace partagé de liberté. Mais, si la liberté ne s’achète pas, elle se paye.

Nous continuons nos questionnements sur le modèle économique de ULPR, qui découle du modèle philosophique. Nous avons de la chance, car si un lieu pour respirer doit être un projet viable, ça ne veut pas dire qu’il doit exister envers et malgré tout. Rien n’en dépend, on n’a pas à sauver les emplois de dizaines de salariés, sa mission de service public, si d’aventure il en avait une, ne peut être décidée en dépit de ce public, bref, il n’y a rien à sauver. Ou plutôt si, ce qui fait tenir les bénévoles actuellement, l’espoir que beaucoup d’autres adhèrent à ce projet volontairement difficile à cerner.


Difficile à cerner parce que son contenu visible ne semble pas venir de l’intérieur : il est apporté par qui le désire. Ce qui vient de l’intérieur, le coeur du projet tel qu’il est défini aujourd’hui, est moins visible et moins descriptible : accueillir, créer du lien et du commun, amener à se rencontrer – vraiment, c’est à dire autour du faire, dans l’action - des personnes qui autrement n’auraient fait que se croiser sur un bout de trottoir, maintenir une / des actitvité(s) commune(s)…


Alors, ce modèle économique, il est difficile à définir :


Il y a celles.ceux qui pensent qu’on ne doit pas dépendre des subventions, mais jusqu’où ? Aujourd’hui, la seule que nous recevons vient de la ville des Lilas, et représente 10 % de nos dépenses incompressibles. Jusqu’où doit-on augmenter cette part de subventions, et donc de dépendance aux institutions ? Sans compter le temps que prend la rédaction et le suivi des dossiers, que d’aucuns trouvent fastidieux, surtout dans un cadre de bénévolat…


Il y a celles.ceux qui pensent qu’il faudrait un.e permanent.e à un lieu pour respirer, qui prenne en charge cette recherche de moyens, et la coordination du lieu, mais dont le paiement du maigre salaire demanderait déjà une somme de travail de recherche conséquente, particulièrement en ces temps où les emplois aidés ne sont plus ce qu’ils étaient, où il n’y a plus d’aide au fonctionnement, sans compter le besoin d’autres postes pour administrer ce poste-là (administration, comptabilité) qui demanderaient de trouver encore d’autres moyens…


Il y a celles.ceux qui pensent qu’un lieu pour respirer doit être un lieu bénévole, qui ne repose que sur l’investissement commun à ceux qui souhaitent le voir vivre, et que la présence d’un salarié viderait de son sens en déchargeant ses usagers du travail que représente l’existence même de ce lieu, mais ça suppose d’avoir convaincu un nombre suffisant de personnes que ce lieu leur est indispensable, surtout celles qui ne s’en rendent pas compte...


Il y a celles.ceux qui pensent qu’un lieu pour respirer, ça a à voir avec la psychanalyse : trouver un espace de liberté, ça ne peut pas être gratuit, indolore, ça doit demander de l’investissement personnel, être un effort soutenu, représenter un coût, parce que c’est comme ça qu’on sent vraiment vivre en soi le besoin d’un tel projet, son importance, et son apport à une perception du monde...


Il y a celles.ceux qui pensent qu’on ne peut pas mener un tel projet avec un loyer aussi élevé. Pourquoi avoir un bailleur privé plutôt que de monter un squat ? Mais ce n’est pas le même projet : les problèmes sont dans un cas plus tournés vers l’extérieur (recherche d’argent, qui ne peut venir des bénévoles actifs) et dans l’autre vers l’intérieur (maintien d’un équilibre de vie, d’investissement de chacun au jour le jour, résistance à ce qui pourrait venir de l’extérieur briser l’élan, comme une expulsion ou de l’entrisme par exemple)…


Il y a celles.ceux qui pensent qu’on devrait augmenter le prix de l’adhésion, le passer à 10€ par exemple, parce que pour être pris au sérieux, il faut que cela ait un coût, en aménageant bien sûr pour les gens de l’hôtel social, et aussi pour les gens dans le besoin, et encore pour les gens qui ne feraient que passer, et aussi pour ceux qui n’ont pas la somme sur eux, et aussi pour…


Il y a celles.ceux qui pensent qu’on devrait faire payer l’entrée aux événements, avec bien sûr les aménagements décrits ci-dessus…


Il y a celles.ceux qui pensent qu’il faut au contraire laisser les montants de l’adhésion et de l’entrée à la responsabilité et la conscience de chacun, mais cela exige un travail de pédagogie et d’explication qui ne sont déjà pas faciles en temps normal quand on accueille les nouveaux adhérents par paquet d’une dizaine dans l’entrée pour leur expliquer le projet, sa philosophie et son modèle économique, tout en continuant de servir des bières ou de préparer l’événement pour lequel on est en retard, mais en temps de covid, en les accueillant un par un, ça devient carrément impossible…


Il y a celles.ceux… et vous, que pensez-vous ? Et d'ailleurs, suffit-il de penser ? Comment avance-t-on avec tout ça ?


Les occasions de répondre ne manqueront pas. Quelques rendez-vous, pour certains très proches : l’apéro à distance du jeudi 12 novembre, qui sera l’occasion de discuter de la naissance de l’atelier cuisine, la création d’un atelier d’écriture, qui devrait être bientôt suivi assez naturellement d’un atelier de lecture, la mise en place d’un atelier affiches, qui sera aussi l’occasion de réfléchir à comment communiquer l’idée de ce que veut être un lieu pour respirer… 

Sans oublier les réunions publiques, tous les samedis à 11h, pour le moment en distanciel via le lien : https://framatalk.org/unlieupourrespirer.

Respect exagéré des gestes barrières : on ferme temporairement !

Pour vous accueillir au mieux dès que possible !

Nous gardons le gel hydroalcoolique (au cas où) ! Restez chez vous et dé-masqué. ! Et voyons-nous via écrans interposés !

Apéro du jeudi

Jeudi 12 novembre

19h - 20h30


Nous avions prévu avant le confinement d’organiser un apéro sur le thème de la cuisine et de notre envie de créer une cantine mensuelle à Un lieu pour respirer. L’idée est simple : préparer avec ceux qui le souhaitent un repas, puis le partager avec nos convives. Le repas serait payant et participerait à soutenir financièrement le lieu.

Mais si l’idée est simple, la réalisation pas si facile ! ca pose des questions (et c’est ca qui intéresse ! ) quel type de plat ? pour quelles régime alimentaire (végétarien, vegan, allergique au gluten, etc), quel budget, quel tarif, où trouver les ingrédients, qui prépare quoi et comment ? 


Bien sûr nous avons déjà quelques pistes, mais toutes ces questions (et d’autres à venir) sont en discussion.

Proposez une idée de recette (entrée, plat, dessert ou autre) simple à faire pour une vingtaine de personnes, peu coûteuse, et surtout excellente !



Rendez-vous jeudi à 19h pour en discuter sur https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net



Réunion publique

Samedi 14 novembre

11h - 12h30 


Comme tous les samedis, nous organisons une réunion publique. Cette semaine, nous aimerions discuter de la communication du lieu. Il y a facebook (on aimerait s’en passer, le pirater, ou mieux s’en servir), il y a la newsletter, le site, les flyers, le bouche à oreille....

Nous aimerions lancer un appel à affiches à disséminer dans le quartier et ailleurs, des annonces sonores ? …

Nous attendons vos idées, propositions et alternatives.


Rendez-vous sur https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net

Apéro du jeudi

Jeudi 19 novembre

19h - 20h30


Choisir un livre, un texte parce qu'il vous plait, parce qu'il résonne en vous en ce moment si particulier du confinement et avoir envie de le lire à voix haute, d'écouter, de partager, de voyager ensemble sur les mots. Découvrir des écrivains de tous pays mais cela peut être aussi des articles, des recettes de cuisine, des mots qui nous interpellent...

Sortir de nos cabanes ! Un-lieu-pour-respirer ça continue, oui quand même !


Rendez-vous au prochain apéro/lecture en visio :

https://framatalk.org/unlieupourrespirer.net



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