Un Lieu Pour Respirer est un local expérimental, autogéré par un collectif de bénévoles et situé au 15 rue Chassagnolle aux Lilas (93).

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En mars, il reste deux événements majeurs à venir. Le 21, c’est le printemps, et le 24, c’est l’assemblée générale d’un lieu pour respirer.


Le printemps, ça arrive sans qu’on s’en occupe, alors parlons de l’AG.


C’est le moment où on se demande vers où on va, ce qu’on veut, qu’est-ce qu’on fait. Mais pour réfléchir à tout ça, il faut peut-être questionner les bases. Et avant de se demander comment, il faut un peu éclaircir le pourquoi.


un lieu pour respirer n’a pas besoin d’exister. Il n’existe que parce qu'un certain nombre de personnes estime que son existence est indispensable. Personne ne met beaucoup d’égo dans ce lieu, parce que comme la programmation est proposée par les adhérents, il n’est la signature de personne, et comme le bureau est collégial, il n’y a ni président·e, ni trésorier·e, ni secrétaire pour s'enorgueillir de l’être.

Si d’un coup personne ne s’occupait plus d’ULPR et qu’il venait à disparaître (imaginons, juste pour les besoins du raisonnement), ce ne serait pas grave en soi. Ce qui serait grave, c’est que personne alentour ne rêve suffisamment d’avoir un lieu pour respirer dans son univers pour y mettre un peu du sien. Que personne ne se décide à en prendre sa part. L’important n’est donc pas que ce lieu existe, mais qu’on veuille qu’il existe et qu’on s’implique pour cela dans son fonctionnement.


Donc, pour qu’il existe vraiment, il faut simplement que celleux qui en usent soient conscient·es qu’il faut faut se lancer, prêter main forte, participer. C’est de ça qu’on va causer à l’AG, parce que s’il y a eu, après la “crise sanitaire”, une dizaine de personnes qui se sont investies avec enthousiasme, il faut qu’elles sentent que cet enthousiasme se renouvelle toujours pour que l’élan perdure. Et puis bordel, on fait ça pour rencontrer des gens, pas pour faire fonctionner un lieu envers et malgré tout !


Alors je n’hésite pas à vous la resservir, celle-là :


Êtes-vous des consommateurs ou bien des participants ?

Graffiti sur le rideau de fer de la scène du théâtre de l’Odéon - mai 1968